CINESTILL 800T


Cela faisait pas mal de temps que je cherchais une occasion pour tester cette pellicule un peu spéciale et trop chère. J’ai pensé que ce festival de musique était surement la bonne occasion de voir ce que pouvait donner le rendu particulier des films Cinestill.

La Cinestill 800T est une pellicule couleur négative conçue à partir de pellicules de cinéma Kodak Vision3 500T, elle est particulièrement adaptée aux conditions de basse lumière et plus spécifiquement aux éclairages tungstene. Elle a un look unique et possède un effet de halo lumineux autour des sources de lumière. Et donne un effet cinématographique aux images.

J’ai été un peu déçu lorsque j’ai reçu les scans. Les conditions de prise de vue était quand même assez difficiles. Peu d’inspiration, de la pluie, très peu de lumière lors des concerts. J’ai dû pousser la pellicule à 3200 ISO.

Je testerai de nouveau ce film avec des meilleures conditions. Je partage quand même ici quelques images que j’aime bien.


I had been looking for an opportunity to test this rather special and overly expensive film for quite some time. I thought that this music festival was surely a good opportunity to see what the particular rendering of Cinestill films could give.

Cinestill 800T is a color negative film made from Kodak Vision3 500T cinema film, it is particularly suitable for low light conditions and more specifically for tungsten lighting. It has a unique look and has a glowing halo effect around the light sources. And gives a cinematic effect to the images.

I was a little disappointed when I received the scans. The shooting conditions were still quite difficult. Little inspiration, rain, very little light during concerts. I had to push the film to ISO 3200.

I will test this film again with better conditions. I’m still sharing here a few images that I like.

PIRENEUS | CASQUE DU LHÉRIS


C’était un dimanche de printemps au dessus de la maison.


KODAK GOLD 200


 

PRECIOUS | PART II



KODAK TRI-X 400


PRECIOUS | PART I


Pour accompagner cette série d’images, je voulais écrire un petit article sur la famille. Plus précisément sur ces instants précieux que j’ai la chance de connaître quand tout le monde se retrouve. Mais je ne savais pas trop par où commencer, comme d’habitude.

J’ai alors eu l’idée, bizarre, curieuse, de faire appel à Chat GPT pour voir comment cette appli pouvait m’aider à débuter ce texte. Et j’ai eu peur …

C’est la deuxième fois que j’essaye ce Chatbot. Et réellement la première pour essayer de trouver une solution. Ce “machin” m’a écrit un article de vingt-cinq lignes environ, un article plein de métaphores comme si Mathias Malzieu en avait pris le contrôle.

Pourquoi cela m’a t’il inquiété ? Faut-il réellement craindre cette nouvelle technologie ? Ou bien faut-il essayer de l’apprivoiser et s’en servir comme un nouvel outil très évolué ? De la même façon que je le fais avec la suite Adobe pour la photo.

Je sais que cette intelligence est artificielle, que ce Chatbot n’a pas les mêmes capacités cognitives que moi. Mais la rapidité à laquelle il génère un texte, sa capacité de compréhension et cette faculté à répondre à un problème en une fraction de seconde fait que nous sommes obligés de nous poser des questions après l’avoir utilisé.

Comment et pourquoi cette technologie arrêterait d’évoluer …?

Après cette expérience, Chat GPT m’a demandé si je voulais installer l’appli sur mon Mac. La première chose qui m’a traversé l’esprit c’est qu’en l’installant, j’allais ouvrir ma vie à cette intelligence. Je sais, c’est une réflexion sûrement un peu bête et basique. Cette IA est déjà présente dans nos appareils, dans nos vies et il n’y a pas de marche arrière possible, mais cette nouvelle technologie m’inquiète.

Je vous laisse avec les premières phrases que ce Chatbot m’a livré :

“Il est des moments en famille qui ressemblent à des constellations secrètes. Des instants suspendus dans le grand ciel du quotidien, où chaque étoile est un sourire, un éclat de rire ou un regard complice ……..”

Et les fantastiques couleurs de cette pellicule Kodak.

To accompany this series of images, I wanted to write a short article about family. More precisely on these precious moments that I am lucky to live when everyone gets together. But I didn't really know where to start, as usual.

I then had the strange, curious idea of ​​using Chat GPT to see how this app could help me start this text. And I was scared...

This is the second time I have tried this Chatbot. And really the first to try to find a solution with it. This “thing” wrote me an article of around twenty-five lines, an article full of metaphors as if Mathias Malzieu had taken control of it.

Why did this worry me? Should we really fear this new technology? Or should we try to tame it and use it as a new, highly evolved tool? The same way I do it with the Adobe photo suite.

I know that this intelligence is artificial, that this Chatbot does not have the same cognitive abilities as me. But the speed at which it generates a text, its capacity for understanding and this ability to respond to a problem in a fraction of second means that we are forced to ask ourselves questions after using it.

How and why would this technology stop evolving...?

After this experience, Chat GPT asked me if I wanted to install the app on my Mac. The first thing that crossed my mind was that by installing it, I was going to open my life to this intelligence. I know, it’s probably a bit of a stupid and basic thought. This AI is already present in our devices, in our lives and there is no turning back, but this new technology worries me.

I leave you with the first sentences that this Chatbot delivered to me:

“There are family moments that resemble secret constellations. Moments suspended in the big sky of everyday life, where each star is a smile, a burst of laughter or a knowing look…….”

And the fantastic colors of that Kodak film.


KODAK GOLD 200


CHRONIQUES DE MARS


Franchis le tunnel de l’Estaque et d’un coup t’es même plus en France
— IAM

Ce petit weekend improvisé à Marseille a été la bonne occasion de sortir du frigo mes deux Pro400h. Je les stockais précieusement depuis que Fujifilm a décidé d’en arrêter la production.

Les couleurs d’hiver de la cité Phocéenne, de la Méditerranée et de cette pellicule se marient à merveille.

Mais pourquoi tu abandonnes la photographie argentique Fujifilm ?

La série complète de photos se trouve ici.

This little improvised weekend in Marseille was a good opportunity to take my two Pro400h out of the fridge. I have been storing them carefully since Fujifilm decided to stop production.

The winter colors of the city, the Mediterranean sea and this film combine wonderfully.

But why are you abandoning film photography Fuji ??

The full set of photos can be found here.


Fujifilm Pro400H


PIRENEUS | REFUGE WALLON


 
 

AUTUMN VIBES | PART II



KODAK PORTRA 160


ON THE ROAD WITH PORTRA



KODAK Portra 160


JORDAN COLLEGE


Ma fille a lu et vu la série “A la croisée des mondes” il y a quelques semaines. Elle est devenue totalement fan de cet univers où l’âme d’un humain est représentée par un animal dont il ne peut se séparer.

Cette journée dans cette abbaye perchée non loin de Barcelone lors d’un petit road trip hivernal m’a fait penser à l’université où ont grandi Lyra et Pantalaimon.

Oui, j’ai toujours adoré cet univers moi aussi !

J’avais pris avec moi un appareil argentique et deux Portra 160 que j’ai poussé à 320 ISO. J’aime beaucoup le rendu et ces tonalités qui tirent vers le marron.

My daughter read and saw the series “The Golden Compass” a few weeks ago. She has become totally addict of this universe where the soul of a human is represented by an animal from which he cannot separate.

A day in this abbey perched not far from Barcelona during a little winter road trip made me think of the university where Lyra and Pantalaimon grew up.

Yes, I have always loved this universe too !

I took with me a film camera and two Portra 160s which I pushed to ISO 320. I really like the result and these tones which lean towards brown.

GRAIN III



FUJIFILM NEOPAN 4OO Pro



KODAK PORTRA 400


SEVILLA


After having done a little retrospective of this year on this blog, I tell myself that this “journal” looks more like a travel blog than anything else.

And it’s not with this article that things will change …

I went to Seville for a few days in May this year. I only took one film camera with me, a 28mm and a 50mm (the perfect kit, right ?).

I brought back three rolls of film from this trip: two Kodak Portra 400 and one 800. And quite a few images that I really like.

I don’t think I’ve told you this before, but this Portra 800 is amazing !

After a little difficult sorting, I created a gallery here.

Which one is your favorite ?

Après avoir fait une petite rétrospective de cette année sur ce blog, je me dis que ce “journal” ressemble plus à un blog voyage qu’autre chose.

Et ce n’est pas avec cet article que les choses vont changer …

Je suis parti quelques jours à Seville au moins de mai de cette année. J’avais pris avec moi uniquement un appareil argentique, un 28mm et un 50mm (le kit parfait n’est-ce pas ?).

J’ai ramené trois pellicules de ce voyage : deux Kodak Portra 400 et une 800. Et pas mal d’images que j’aime énormément.

Je ne crois pas vous l’avoir déjà dit, mais cette Portra 800, c’est quand même quelque chose !

Après un petit tri difficile à faire, j’ai créé une galerie ici.

C’est laquelle votre préférée ?

CADAQUÉS


She had been asking us to return to Cadaqués for several years. She was ten years old when she spent a day there. It was in 2016 during our road trip on the Spanish coast and she kept beautiful memories of this village and its surroundings.

She fell in love with the place again that long weekend in May. Just like us.

I had brought the film camera this time. You can see the entire series of images here.

Cela faisait plusieurs années qu’elle nous demandait de retourner à Cadaqués. Elle avait dix ans lorsqu’elle y avait passé une journée. C’était en 2016 lors de notre road trip sur la côte espagnole et elle gardait de beaux souvenirs de ce village et des alentours.

Elle est retombée amoureuse de l’endroit lors de ce long weekend de mai. Tout comme nous.

J’avais amené l’appareil argentique cette fois-ci. Vous pouvez voir la série entière des images ici.


Kodak Ultramax 400


ENCORE UN MATIN


Waking up in the van when it's still dark. Get up slowly without waking anyone. Put on a sweatshirt, take your camera and wait for the sun to rise ...

Se réveiller dans le van quand il fait encore nuit. Se lever doucement sans réveiller personne. Enfiler un sweat, prendre son appareil et attendre que le soleil se lève …


Kodak Ultramax 400


GRAIN II


 

KODAK GOLD 200


 
 
 

EUSKAL HERRIA ON FILM


A roll of Agfa APX 100 and two rolls of Kodak Gold 200 on a road trip in the Spanish Basque Country …

 

Agfa APX 100

 

Kodak Gold 200

GRAIN


 

KODAK PORTRA 400


 
 
 

FUJICOLOR SUPERIA


Yoann Buetas-51.jpg

In 2019, with the release of the X-Pro3, Fujifilm introduced a new film situation in its cameras: the Classic Negative.

This "Classic Negative" reproduces the behavior of a color negative film from Fuji which is quite “go-anywhere”: the Fujicolor Superia.

I am very fond of the Classic Chrome simulation. But the vintage renderings photographers get with the Classic Negative appeal to me enormously. And even if the marketing argument to promote the new devices which are generally the only ones to receive the new simulations bothers me a little, I can't wait to be able to test this novelty which is no longer a novelty.

While waiting to be able to test it, here are the results obtained with the Fujicolor Superia film mounted in my Canon A1 camera and developed by the brilliant film lab Camencita Film Lab based in Spain.

Best wishes to you all !

En 2019, avec la sortie du X-Pro3, Fujifilm a introduit une nouvelle situation de film dans ses appareils : le Classic Negative.

Ce « Classic Negative » reproduit le comportement d’une pellicule négative couleur de chez Fuji qui est assez “passe partout” : la Fujicolor Superia.

Je suis très attaché à la simulation Classic Chrome. Mais les rendus vintage obtenus par les photographes avec le Classic Negative m’attirent énormément. Et même si l’argument marketing pour promouvoir les nouveaux appareils qui sont généralement les seuls à recevoir les nouvelles simulations m’agace un petit peu, il me tarde de pouvoir tester cette nouveauté qui n’en est plus une.

En attendant de pouvoir la tester, voilà les résultats obtenus avec la pellicule Fujicolor Superia montée dans mon boitier Canon A1 et développée par le génialissime labo argentique Camencita Film Lab basé en Espagne.

Meilleurs voeux à tous !


CANON A1 | Fujicolor Superia X-tra 400 | Canon nFD 50mm f1.4 | Sigma FD Mini-Wide 28mm f2.8