C’était un dimanche de printemps au dessus de la maison.
PIRENEUS | CASQUE DU LHÉRIS
C’était un dimanche de printemps au dessus de la maison.
C’était un dimanche de printemps au dessus de la maison.
Pour accompagner cette série d’images, je voulais écrire un petit article sur la famille. Plus précisément sur ces instants précieux que j’ai la chance de connaître quand tout le monde se retrouve. Mais je ne savais pas trop par où commencer, comme d’habitude.
J’ai alors eu l’idée, bizarre, curieuse, de faire appel à Chat GPT pour voir comment cette appli pouvait m’aider à débuter ce texte. Et j’ai eu peur …
C’est la deuxième fois que j’essaye ce Chatbot. Et réellement la première pour essayer de trouver une solution. Ce “machin” m’a écrit un article de vingt-cinq lignes environ, un article plein de métaphores comme si Mathias Malzieu en avait pris le contrôle.
Pourquoi cela m’a t’il inquiété ? Faut-il réellement craindre cette nouvelle technologie ? Ou bien faut-il essayer de l’apprivoiser et s’en servir comme un nouvel outil très évolué ? De la même façon que je le fais avec la suite Adobe pour la photo.
Je sais que cette intelligence est artificielle, que ce Chatbot n’a pas les mêmes capacités cognitives que moi. Mais la rapidité à laquelle il génère un texte, sa capacité de compréhension et cette faculté à répondre à un problème en une fraction de seconde fait que nous sommes obligés de nous poser des questions après l’avoir utilisé.
Comment et pourquoi cette technologie arrêterait d’évoluer …?
Après cette expérience, Chat GPT m’a demandé si je voulais installer l’appli sur mon Mac. La première chose qui m’a traversé l’esprit c’est qu’en l’installant, j’allais ouvrir ma vie à cette intelligence. Je sais, c’est une réflexion sûrement un peu bête et basique. Cette IA est déjà présente dans nos appareils, dans nos vies et il n’y a pas de marche arrière possible, mais cette nouvelle technologie m’inquiète.
Je vous laisse avec les premières phrases que ce Chatbot m’a livré :
“Il est des moments en famille qui ressemblent à des constellations secrètes. Des instants suspendus dans le grand ciel du quotidien, où chaque étoile est un sourire, un éclat de rire ou un regard complice ……..”
Et les fantastiques couleurs de cette pellicule Kodak.
To accompany this series of images, I wanted to write a short article about family. More precisely on these precious moments that I am lucky to live when everyone gets together. But I didn't really know where to start, as usual.
I then had the strange, curious idea of using Chat GPT to see how this app could help me start this text. And I was scared...
This is the second time I have tried this Chatbot. And really the first to try to find a solution with it. This “thing” wrote me an article of around twenty-five lines, an article full of metaphors as if Mathias Malzieu had taken control of it.
Why did this worry me? Should we really fear this new technology? Or should we try to tame it and use it as a new, highly evolved tool? The same way I do it with the Adobe photo suite.
I know that this intelligence is artificial, that this Chatbot does not have the same cognitive abilities as me. But the speed at which it generates a text, its capacity for understanding and this ability to respond to a problem in a fraction of second means that we are forced to ask ourselves questions after using it.
How and why would this technology stop evolving...?
After this experience, Chat GPT asked me if I wanted to install the app on my Mac. The first thing that crossed my mind was that by installing it, I was going to open my life to this intelligence. I know, it’s probably a bit of a stupid and basic thought. This AI is already present in our devices, in our lives and there is no turning back, but this new technology worries me.
I leave you with the first sentences that this Chatbot delivered to me:
“There are family moments that resemble secret constellations. Moments suspended in the big sky of everyday life, where each star is a smile, a burst of laughter or a knowing look…….”
And the fantastic colors of that Kodak film.
Ma fille a lu et vu la série “A la croisée des mondes” il y a quelques semaines. Elle est devenue totalement fan de cet univers où l’âme d’un humain est représentée par un animal dont il ne peut se séparer.
Cette journée dans cette abbaye perchée non loin de Barcelone lors d’un petit road trip hivernal m’a fait penser à l’université où ont grandi Lyra et Pantalaimon.
Oui, j’ai toujours adoré cet univers moi aussi !
J’avais pris avec moi un appareil argentique et deux Portra 160 que j’ai poussé à 320 ISO. J’aime beaucoup le rendu et ces tonalités qui tirent vers le marron.
My daughter read and saw the series “The Golden Compass” a few weeks ago. She has become totally addict of this universe where the soul of a human is represented by an animal from which he cannot separate.
A day in this abbey perched not far from Barcelona during a little winter road trip made me think of the university where Lyra and Pantalaimon grew up.
Yes, I have always loved this universe too !
I took with me a film camera and two Portra 160s which I pushed to ISO 320. I really like the result and these tones which lean towards brown.
She had been asking us to return to Cadaqués for several years. She was ten years old when she spent a day there. It was in 2016 during our road trip on the Spanish coast and she kept beautiful memories of this village and its surroundings.
She fell in love with the place again that long weekend in May. Just like us.
I had brought the film camera this time. You can see the entire series of images here.
Cela faisait plusieurs années qu’elle nous demandait de retourner à Cadaqués. Elle avait dix ans lorsqu’elle y avait passé une journée. C’était en 2016 lors de notre road trip sur la côte espagnole et elle gardait de beaux souvenirs de ce village et des alentours.
Elle est retombée amoureuse de l’endroit lors de ce long weekend de mai. Tout comme nous.
J’avais amené l’appareil argentique cette fois-ci. Vous pouvez voir la série entière des images ici.
Waking up in the van when it's still dark. Get up slowly without waking anyone. Put on a sweatshirt, take your camera and wait for the sun to rise ...
Se réveiller dans le van quand il fait encore nuit. Se lever doucement sans réveiller personne. Enfiler un sweat, prendre son appareil et attendre que le soleil se lève …
In the September issue of FujiXPassion magazine, I'm talking about my photographic workflow and the Kodak Portra 160 film simulation from FujiXWeekly that I tested during a long weekend in northern Spain.
Another big thank you to Hugo and Maurício for this new collaboration.
And if you are interested, you can find the magazine here.
Dans l’édition de septembre du magazine FujiXPassion, je reviens sur mon workflow photographique et la simulation de film Kodak Portra 160 de FujiXWeekly que j’ai testé lors d’un long weekend dans le nord de l’Espagne.
Encore un grand merci à Hugo et Maurício pour cette nouvelle collaboration.
Et si cela vous intéresse, vous pouvez retrouver le magazine ici.
A roll of Agfa APX 100 and two rolls of Kodak Gold 200 on a road trip in the Spanish Basque Country …